Théâtre Municipal - BAGNOLS LES BAINS
Cette œuvre parle de liberté, d’amour. Ce texte est un hymne à la pulsion de vie. Aldébaran, celui qui a vécu et qui donne à l’enfant au travers de leur chevauchée fantastique, les outils pour poursuivre l’envol.
Le travail de mise en scène s’inscrit dans le sens positif et lumineux de l’auteur, celui de l’immortalité du cycle vivant.
La pièce :
Dernier rayon, texte de Joël Jouanneau.
Aldébaran, un vieil homme sur le point de mourir, offre à un enfant – un enfant trouvé, son enfant – tout ce que la vie lui a donné. La beauté des fleurs, celle des oiseaux, la joie de la cueillette des champignons.
En selle sur leurs vélos, tous les deux parcourent un chemin chaotique et drôle.
Le choix de la pièce :
Ce qui nous a touchés dans ce récit est la manière dont Joël Jouanneau traite la question de la transmission intergénérationnelle : le vélo métaphore de la liberté et outil de passage.
Ce sujet est au carrefour de l’engagement de la Compagnie : faire du théâtre un outil d’éducation et d’émancipation ; la culture passerelle intergénérationnelle et élément indispensable à la rencontre.
Cette œuvre parle de liberté, d’amour. Ce livre est un hymne à la pulsion de vie. Aldébaran, celui qui a vécu et qui donne à l’enfant au travers de leur chevauchée fantastique, les outils pour poursuivre l’envol.
Serge Lacan, Directeur artistique
Notes d'intention, extrait :
Mettre en scène DERNIER RAYON ce serait comme choisir de faire avec le public un long voyage.
Un voyage qui traverserait toutes les étapes de l'existence.
Un voyage qui interrogerait la mort pour mieux parler de la vie.
Un voyage qui nous permettrait d'apprendre et de transmettre.
Un voyage qui nous délivrerait aussi.
Un voyage qui relierait la terre au ciel.
(...) Le travail de mise en scène ne peut donc s'inscrire que dans le sens positif et lumineux de l'auteur, celui de l'immortalité du cycle vivant.
Hélène Pelletier, Metteur en scène
L'équipe :
Mise en scène : Hélène Pelletier
Interprétation : Serge Lacan et Cora-Lyne Oudart
Création lumière : Samuel Herbreteau